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Jordanie
Société
La Jordanie est un pays du Proche-Orient divisé en 12 mouhafaza (gouvernorats). L'arabe est la langue officielle. On y parle aussi l'anglais. La grande majorité de la population est de confession musulmane sunnite.
Capitale :
Superficie :
Monnaie :
Politique intérieure
L'année 1946 marque la fin du mandat britannique sur la Transjordanie qui devient indépendante. La Cisjordanie est annexée trois ans plus tard, après la guerre avec Israël, et le Royaume hachémite de Jordanie est proclamé. Il est dirigé par le roi Abdallah jusqu'en 1951, puis par son petit-fils Hussein (1952-1999) qui domine la vie politique du pays jusqu'à la fin du siècle. La victoire israélienne, en 1967, entraîne la perte de la Cisjordanie et l'arrivée de milliers de réfugiés. Des tensions éclatent entre les dirigeants de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), exilés en territoire jordanien, et le roi Hussein. En 1970, ce dernier procède à une intervention militaire - « septembre noir » - qui raffermit son autorité. Malgré des différends, la Jordanie reconnaît par la suite les prétentions des Palestiniens sur la Cisjordanie. Au cours des années 1980, la détérioration de la situation économique provoque une montée de la contestation. Hussein y répond en adoptant des réformes démocratiques. C'est Abdallah, le fils de Hussein, qui lui succède en 1999. Le pays connait une croissance économique marquée, mais les promesses d'une plus grande démocratisation de la vie politique, réitérées lors du printemps arabe de 2011, tardent à se matérialiser.
Au plan de l'organisation des pouvoirs, il s'agit d'un État unitaire. Le régime politique est parlementaire, c'est-à-dire que le gouvernement doit nécessairement avoir l'appui du parlement.
Le système électoral est du type vote unique nontransférable.
Le droit de vote pour les femmes a été reconnu en 1974.
Politique extérieure
Malgré les conflits avec Israël et son refus d'adhérer au pacte de Bagdad, en 1955, la Jordanie pratique une politique extérieure modérée au Moyen-Orient. En 1958, elle réagit à la formation de la République arabe unie - Égypte et Syrie - en fondant l'éphémère Fédération arabe avec l'Irak. La cuisante défaite des Jordaniens aux mains des troupes israéliennes, en 1967, constitue un point tournant. D'une part, elle entraîne la perte de la Cisjordanie et de la partie est de Jérusalem. De l'autre, elle accentue les tensions avec l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), dont les leaders sont établis en territoire jordanien. Il en résulte une épreuve de force sanglante, en 1970, qui permet à Hussein de consolider son pouvoir. Malgré son opposition aux accords de camp David (1979) et son refus de participer à la guerre du golfe (1991), Hussein et son successeur Abdallah conservent des rapports étroits avec le monde occidental. Hussein avait d'ailleurs reconnu la souveraineté des Palestiniens sur la Cisjordanie et signé la paix avec Israël avant de décéder, en 1999. Au XXIe siècle, la Jordanie améliore ses relations avec des pays de la région, notamment l’Irak et l’Égypte, et se joint à l’offensive internationale contre l’État islamique autoproclamé.
Ce pays est membre de plusieurs organisations internationales dont:
ONU [14 décembre 1955]
Population Totale, PIB, Gaz à effet de serre, IDH, Inégalités sociales, Espérances de Vie
Politique intérieure
L'année 1946 marque la fin du mandat britannique sur la Transjordanie qui devient indépendante. La Cisjordanie est annexée trois ans plus tard, après la guerre avec Israël, et le Royaume hachémite de Jordanie est proclamé. Il est dirigé par le roi Abdallah jusqu'en 1951, puis par son petit-fils Hussein (1952-1999) qui domine la vie politique du pays jusqu'à la fin du siècle. La victoire israélienne, en 1967, entraîne la perte de la Cisjordanie et l'arrivée de milliers de réfugiés. Des tensions éclatent entre les dirigeants de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), exilés en territoire jordanien, et le roi Hussein. En 1970, ce dernier procède à une intervention militaire - « septembre noir » - qui raffermit son autorité. Malgré des différends, la Jordanie reconnaît par la suite les prétentions des Palestiniens sur la Cisjordanie. Au cours des années 1980, la détérioration de la situation économique provoque une montée de la contestation. Hussein y répond en adoptant des réformes démocratiques. C'est Abdallah, le fils de Hussein, qui lui succède en 1999. Le pays connait une croissance économique marquée, mais les promesses d'une plus grande démocratisation de la vie politique, réitérées lors du printemps arabe de 2011, tardent à se matérialiser. Au plan de l'organisation des pouvoirs, il s'agit d'un État unitaire. Le régime politique est parlementaire, c'est-à-dire que le gouvernement doit nécessairement avoir l'appui du parlement. Le système électoral est du type vote unique nontransférable. Le droit de vote pour les femmes a été reconnu en 1974.